C'était en février, à Talensac (35). C'était en classe de CM1-CM2 B, puis A, ou l'inverse. J'étais encore en plein Feuilleton des Incos et mes hôtes immergés dans cette histoire que je leur ai racontée, aussi. Tellement qu'ils en avaient des questions à me poser. Tellement, qu'ils en avaient préparé, des travaux : plan de la ville, illustrations des personnages, relevés d'indices. Et la fin, dis, et la fin ? Comme une chanson qui se finit, comme une musique, un rythme qui ralentit, puis doucement se tait. Et les mains, dis, et les mains, qui se lèvent, et les questions suspendues à leurs lèvres. Et les réponses que j'avais, ou que je n'avais pas, et les échanges que l'on continue à tisser, avec ces années qui commencent à passer, avec ces livres, tous, ils les connaissent tous, ils les ont presque tous, ils connaissent aussi, comme un secret entre eux et moi, ce qui va paraître prochainement ou dans quelques mois. Ou peut-être aussi, ce qui ne paraîtra pas. Elles sont riches, les rencontres qui se poursuivent avec les ans et les mois qui défilent.


Chaleureux, fidèles, souriants, présents, les parents d'élèves et les enfants, les enseignants et même leurs enfants, étaient bien au rendez-vous pour ces nouvelles denses séances de dédicaces ! Je crois que je n'ai jamais autant signé de livres en si peu de temps, au point de ne plus connaître les prénoms des enfants ou de leurs parents (mes excuses), au point même de ne plus connaître le mien (heureusement que j'ai un carnet) ! Grand merci à l'Apaep pour son invitation et à tous les visiteurs d'avoir été présent à ce rendez-vous !





 J'ai même rapporté du travail à la maison...

 J'ai même quand même travaillé un peu la nuit, car je n'avais pas encore tout à fait fini...

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